User Tools

Site Tools


francoise_sagan

This is an old revision of the document!


Bonjour tristesse : roman / Francoise Sagan. - Paris : Julliard, 1954. - 188 p. ; 19 cm.

Preso in prestito alla Civica di Cuneo sabato 30 dicembre 2017.

Première partie

I. Sur ce sentiment inconnu dont l'ennui, la douceur m'obsèdent, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse.

II. Anne ne devait pas arriver avant une semaine.

III. Le lendemain matin, je fus réveillée par un rayon de soleil oblique et chaud, qui inonda mon lit et mit fin aux rêves étranges et un peu confus où je me débattais.

IV. Ce qui m'étonna le plus, les jours suivants, ce fut l'extrême gentillesse d'Anne à l'égard d'Elsa.

V. Et puis un jour, ce fut la fin.

VI. Le lendemain matin fut pénible, sans doute à cause des whiskies de la veille.

[…]

J'aurais voulu être caressée, consolée, raccommodée avec moi-même. Mon père et Anne se taisaient: ils avaient devant eux une nuit d'amour, j'avais Bergson. J'essayai de pleurer, de m'attendrir sur moi-même; en vain. C'était déja sur Anne que je m'attendrissais, comme si j'avais été sûre de la vaincre.

Deuxième partie

I. La netteté de mes souvenirs à partir de ce moment m'étonne.

II. Deux jours passèrent: je tournais en rond, je m'épuisais.

III. Le lendemain, en me dirigeant vers la villa de Cyril, je me sentais beaucoup moins sûre de moi, intellectuellement.

IV. Mon père n'avait pas témoigné d'autre sentiment que l'étonnement.

V. Cet incident dont je viens de parler ne devait pas être sans conséquences.

VI. Le lendemain matin, j'emmenai mon père se promener avec moi sur la route.

VII. À quelques jours de là, mon père reçut un mot d'un de nos amis lui fixant rendez-vous à Saint-Raphaël pour prendre l'apéritif.

VIII. Le lendemain, je me réveillai parfaitement bien, à peine fatiguée, la nuque un peu endolorie par mes excès.

IX. Je parle beaucoup d'Anne et de moi-même et peu de mon père.

X. C'est drôle comme la fatalité se plaît à choisir pour la représenter des visages indignes ou médiocres.

XI. Nous ne nous retrouvâmes qu'au dîner, tous deux anxieux de ce tête-à-tête si brusquement reconquis.

XII. À Paris, il y eut l'enterrement par un beau soleil, la foule curieuse, le noir.

francoise_sagan.1514804721.txt.gz · Last modified: 2018/01/01 12:05 by francesco