{{:balzac_1956.jpg?200 |}} **Ferragus** Chapitre premier. Madame Jules Chapitre II. Ferragus Chapitre III. La femme accusée Chapitre IV. Où aller mourir ? Conclusion **La duchesse de Langeais** Chapitre premier. La sœur Thérèse Chapitre II. L'amour dans la paroisse de Saint-Thomas d'Aquin Chapitre III. La femme vraie Chapitre IV. Dieu fait les dénoûments **La fille aux yeux d'or** Chapitre premier. Physionomies parisiennes Un des spectacles où se rencontre le plus d'épouvantement est certes l'aspect général de la population parisienne, peuple horrible à voir, hâve, jaune, tanné. Paris n'est-il pas un vaste champ incessamment remué par une tempête d'intérêts sous laquelle tourbillonne une moisson d'hommes que la mort fauche plus souvent qu'ailleurs et qui renaissent toujours aussi serrés, dont les visages contournés, tordus, rendent par tous les pores l'esprit, les désirs, les poisons dont sont engrossés leurs cerveaux; non pas des visages, mais bien des masques: masques de faiblesse, masques de force, masques de misère, masques de joie, masques d'hypocrisie, tous exténués, tous empreints des signes ineffaçables d'une haletante avidité? Que veulent-ils? De l'or, ou du plaisir? Chapitre II. Singulière bonne fortune Chapitre III. La force du sang