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musei_e_mostre_2017

Table of Contents

Gennaio

3 gennaio, a Fort-de-France: Musée régional d'histoire et d'ethnographie, una bella mostra sul calcio in Martinica al pianterreno e la collezione del museo, al primo piano.

28 gennaio: Pascal, le cœur et la raison, alla BnF.

du 8 novembre 2016 au 29 janvier 2017 François-Mitterrand / Galerie 1

Mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien, Blaise Pascal échappe à toute tentative de portrait exhaustif. Cette exposition propose d’entrer dans l’œuvre de l’auteur en suivant le fil des trois «ordres» qui organisent la pensée pascalienne : le corps, autour de «l’ introuvable visage de Pascal» mais aussi de son inscription précoce dans un cercle intellectuel et scientifique qui favorise l’éclosion de son génie, la raison, que Pascal «géomètre» pousse au point extrême où elle rencontre ses limites ; le cœur, enfin, autour de l’apologie de la religion chrétienne des Pensées. Le manuscrit autographe et les premières copies de l’ouvrage, qui compte parmi les trésors des collections de la BnF, permettront d’éclairer l’histoire singulière de l’ouvrage, dont les feuillets furent rassemblés et édités de façon posthume. Présentés en regard du masque mortuaire de l’auteur, ils soulignent l’empreinte énigmatique de cette présence en creux du philosophe que lui-même exprimait ainsi : «Figure porte absence et présence, plaisir et déplaisir».

Exposition avec la collaboration du Museum Henri-Lecoq.

http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/expositions/f.pascal_coeur_raison.html

Marzo

Domenica 19, visito per la prima volta il Musée Jean-Jacques Henner, nel Diciassettesimo.



Agosto

Venerdì 11, Αρχαιολογικό Μουσείο Πειραιά.

Ottobre

Domenica 1

Alla Galerie Lumière des roses (12-14, J.-J. Rousseau - 93100 Montreuil) con Marina per la mostra J'aime regarder les filles all'interno della quale viene proiettato il cortometraggio di Angelo Caperna: Dans les yeux. “Au milieu des H.L.M., dans le bruit brut du trafic, une fille et un garçon attendent quelque chose… Petit à petit, rires brefs et silences perdus dévoilent deux êtres désarmés face à leur désir.

Deux êtres qui doivent s’affranchir de la distance qui les sépare entre un muret caché par les voitures et un arrêt de bus.

Un fragment de vie dans une ville. Un fragment de discours amoureux”.


« J’aime regarder les filles » – ou, disons-le plutôt … sous les jupes des filles – réunit un ensemble de photographies qui, chacune à sa manière, interroge la notion de voyeurisme.

Au travers d’images largement puisées dans la photographie anonyme et amateur, comme la troublante série de l’amateur de Brighton qui, sous ses faux airs de Lewis Carroll, regarde sous les jupons de jeunes baigneuses en 1890, ou à travers le prisme de photographes contemporains comme Kōhei Yoshiyuki, Merry Alpern, L.O.R. ou Olivier Kervern, l’exposition joue sur le fil du désir de voir quand celui-ci touche aux zones d’ombre, devient sujet à caution, interpelant les regardeurs/voyeurs que nous sommes avec son lot de questions : où commence le voyeurisme ? à quel moment la curiosité devient-elle déplacée, obsessionnelle, perverse ? la jouissance de voir est-elle dans l’image ou dans l’œil du spectateur ?

Lunedì 2

Vernissage della mostra Fortuny: un Espagnol à Venise con Mariolina al Palais Galliera.

“Un musée porte son nom au coeur de la Sérénissime, il est vénitien d’adoption, mais espagnol de naissance, célèbre pour son plissé… C’est Mariano Fortuny, et le Palais Galliera, musée de la mode de la Ville de Paris, lui consacre une rétrospective. À travers une centaine de pièces issues du fonds Galliera, du Museo del Traje à Madrid et du Museo Fortuny à Venise, l’exposition dévoilera la diversité de ses inspirations et de ses talents d’inventeur : la robe « Delphos » créée en 1909 en est l’illustration la plus célèbre. Toute de soie unie, si finement plissée qu’elle se range en boule et retrouve toute sa fluidité une fois dépliée…

Fils du peintre espagnol Mariano Fortuny y Marsal (1838-1874), Mariano Fortuny y Madrazo (1871-1949) s’oriente d’abord vers la peinture. C’est à Venise, où il s’établit en 1888, que son nom reste attaché. Ses goûts très éclectiques le poussent à s’intéresser à la gravure, à la photographie, au design (mobilier et luminaires) et à se passionner pour la mise en scène et l’éclairage scénique. Dès 1906, il se tourne vers le textile avec les châles «Cnossos» en voile de soie imprimé de motifs inspirés de la céramique crétoise de Camarès. OEuvrant à la libération des corps, revisitant l’Antiquité, le Moyen Âge et la Renaissance, il s’attache à la souplesse du vêtement sans taille, en créant des pièces intemporelles aux lignes droites.

Mariano Fortuny tient une place de premier rang dans l’oeuvre de Marcel Proust. Le peintre Elstir dans À la recherche du temps perdu rapporte: «Mais on dit qu’un artiste de Venise, Fortuny, a retrouvé le secret de leur fabrication et qu’avant quelques années les femmes pourront se promener, et surtout rester chez elles, dans des brocarts aussi magnifiques que ceux que Venise ornait, pour ses patriciennes, avec des dessins d’Orient. »

Fortuny magnifie chaque tissu en une pièce unique aux subtils jeux de lumière. Le visiteur pourra admirer, parmi les robes portées par la comtesse Greffulhe et sa fille Élaine, Eleonora Duse, Ellen Terry, Oona Chaplin …, ses savantes impressions à base de poudres métalliques sur velours de soie qui rendent hommage aux influences byzantines, japonaises, persanes. L’exposition Mariano Fortuny est une invitation à la fluidité, aux atmosphères miroitantes d’un inventeur prolixe qui fut aussi un ardent défenseur de la libération du corps et, luxe suprême, du confort. Une plongée dans l’élégance intemporelle. - Commissariat :
Sophie Grossiord, conservateur général au Palais Galliera,
assistée de Christian Gros, attaché de conservation au Palais Galliera”

Sabato 7

Con Mariolina al Petit-Palais per L'art du pastel de Degas à Redon.

musei_e_mostre_2017.txt · Last modified: 2017/11/17 20:29 by francesco